mardi 13 septembre 2011


...The Japanese sword was never a mere ribbon of polished and sharpened steel. In the juxtaposition of blade and scabbard, there exists an emblem of the dynamic interplay of male and female, penetration and containment, power dependent as much upon its reserve as its expression. The sword itself was the embodiment of the principle of law founded upon hierarchy, the ruling warriors' power rooted in their submission to a web of obligations and loyalties to superiors, their weapons instruments of service rather than of freedom. In religious iconography, the Taoist sword cut through undifferentiated chaos, introducing deliniation into the universe, creating darkness and light, yin and yang, positive and negative and from this duality, the birth of the myriad forms of the universe. The Buddhist sword is the sword which cuts through illusion, the bright cold edge of mindful consciousness which requires one to face reality with open eyes and courageous heart.
Satsujin no Ken (the sword which takes life) and Katsujin no Ken (the sword which gives life) are concepts which attempt to differentiate between the use of the sword for murderous ends as opposed to the use of the sword to protect people, or to preserve the order of society.
Dans la dépendance, nous aspirons à retrouver le paradis du ventre maternel. Nous avons du mal à le quitter. Nous refusons d'assumer la responsabilité de notre vie. Nous ne voulons pas devenir adultes. Habitués à être gâtés, nous ne sommes pas prêts à affronter la vie. Nous restons englués dans la consommation au lieu de nous ouvrir à la vie Voilà pourquoi ils doivent être visités à nouveau. L'âme est venue à la fois les exprimer, les comprendre et les dépasser, pour une libération et un retour conscient à l'unité.
L'âme reprend aussi ses goûts et ses talents naturels, ceux qui ont été développés antérieurement et ceux qu'elle désire explorer. Ces
talents vont constituer l'essence individuelle de l'être, celle qui est son meilleur son meilleur atout de libération. Si jamais l'être l'être ne parvenait pas à s'exprimer ou à exprimer son âme, il aurait
la sensation de passer à côté de sa vie. Il éprouverait une souffrance qui l'informerait que quelque chose ne va pas...

Aucun commentaire: